Combien étions-nous au Lucernaire ? 110, 120 ? Je ne sais pas.
Merci d'être venus si nombreux dans ce moment très particulier. Le moment précis où l'auteur se sent à l'article de la mort, entouré de ceux qu'il aime (qui l'aiment). Le moment précis où le livre va vivre sa propre vie.
Merci également aux éditeurs, Bettina et Gil FONDALLOSA (In Octavo éditions), sans qui le livre n'aurait pas existé.
Mon seul regret a été de ne pas avoir pu passer plus de temps avec chacun d'entre vous. Rançon du succès...
Je serais heureux de recueillir vos impressions de lecture. N'hésitez donc pas à me les envoyer par mail ou par lettre, en morse ou en hiéroglyphes (tout bien réfléchi, en français, ça ira aussi).
En vous souhaitant bonne lecture,
P.S : Voici des vers de Brassens qui auraient pu figurer aussi en épigraphe
"C'est pas seulement à Paris, Que le crime fleurit
Nous, au village, aussi, l'on a, De beaux assassinats"
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