Bibliographie d'Alain BRON :
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Rédigé le 27/03/2018 à 07:23 dans 05. Ecrire | Lien permanent | Commentaires (0)
RVM émission le Bouche à oreille
Rubrique : « Mots sans maux » par Alain Bron
Sources : Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales (CNRTL) ; Dictionnaire historique de la Langue Française, pourquois.com, expressions-francaises.fr, wikipedia
Jeudi 22 mars 2018
L’émission « Le Bouche à oreille » reçoit le café associatif « Au bon coin » de Soisssons : http://auboncoinsoissons.free.fr/
Coin
(XIIe siècle) Du latin cuneus (« coin à fendre le bois » ou « tout objet ayant la forme d’un coin ») qui a également donné en français le terme cunéiforme (« en forme de coin »). Le mot a gardé le sens de « triangle plein » qu’il avait en latin et qui se réalise dans « le coin d’un mur, d’une maison, d’une rue ». En français moderne, le coin désigne une partie d’une pièce (coin-cuisine, coin-télé…)
Quant au mot « coing », il vient, via le latin, du grec kudonia mela, littéralement « fruit de Cydonia » (ville de Crète)
Café
C'est au Yémen, sur la rive de la mer Rouge d'où le café partit à la conquête du monde, que la boisson acquit son nom arabe de qahwa, d'où dérivent le mot français et ses dizaines d'équivalents dans le monde. Dans l'ancienne langue poétique arabe, le mot qahwa désignait déjà une autre boisson modifiant quelque peu l'acuité de l'esprit: le vin. Il est arrivé dans la langue turc sous le terme de "kaweh" qui signifie "force", "vigueur". Il s'écrira pendant longtemps " caffé ". Le mot arrive en France vers 1610, peut-être via l’italien. Il désignait à l’origine la boisson chaude, puis la graine (café-cerise), puis le lieu. On retrouve cette même origine dans son synonyme caoua.
Le Café Procope (ou simplement, Le Procope) est le plus ancien café-restaurant de Paris, fondé en 1686. Il se situe au 13 rue de l’Ancienne-Comédie, dans le quartier de la Monnaie du 6è arrondissement. Café d’artistes et d’intellectuels, il était fréquenté au xviiie siècle par Voltaire, Diderot et d’Alembert. Centre actif durant la Révolution française, il reste longtemps un lieu de rencontre d’écrivains et d’intellectuels (Musset, Verlaine, Anatole France), d’hommes politiques (Gambetta) et du Tout-Paris.
Cotisation
De « cote », issu du latin « quot » (combien). D’où quote-part (part qui revient à chacun). Cotiser : payer volontairement sa part dans une dépense collective (1549)
Respect
Du latin respectus (« regard en arrière ; égard ; refuge »), dérivé de respicere (« regarder en arrière, derrière soi »). Ce dernier est formé sur le radical de specere (« regarder ») avec le préfixe re- exprimant le retour en arrière, la répétition. 1455 : « respect » désigne le sentiment qui porte à traiter quelqu’un avec les égards dus à son âge, son rang, son mérite, son sexe.
Solidarité
De « solidaire », issu du latin juridique "in solido" proprement "pour le tout" c'est-à-dire responsable envers le tout. Le mot désigne ensuite le lien unissant entre eux les débiteurs d'une somme. La solidarité est le sentiment de responsabilité et de dépendance réciproque au sein d'un groupe de personnes qui sont moralement obligées les unes par rapport aux autres.
Bénévole
Littéralement « qui veut du bien » du latin bene (bien) et volo (je veux). Depuis 1866, l’adjectif est appliqué à une chose faite de manière désintéressée, sans rémunération, d’où un ou une bénévole.
Sandwich
De l’anglais sandwich, lui-même issu du titre de John Montagu, 4e comte de Sandwich. S’il n’en fut probablement pas l’inventeur, il fut au moins l’un de ses premiers grands fervents. Il est reporté que le comte, très occupé par ses tâches administratives, consommait des sandwiches à son bureau afin de gagner du temps.
Soda
De l’arabe suwwad (soude), puis du latin soda et de l’italien soda. La boisson pétillante vient de l’anglais soda-water, liquide obtenu avec de l’eau, du sucre et gazéifiée par une solution de bicarbonate de soude (soda en anglais).
Tolérance
De tolérer, issu du latin tolerare = porter, supporter (un poids, un fardeau physique ou moral). Au XVI è siècle, tolérance s’emploie en parlant des croyances religieuses. Le mot acquiert un contenu positif en 1763 (Voltaire : Traité de la tolérance)
œcumenisme
Du grec oikouméné (terre habitée), puis du latin oecumenicus (de toute la terre habitée, universel). Qui concerne ou rassemble l’ensemble des confessions chrétiennes.
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Rédigé le 22/03/2018 à 09:22 dans 08. Radio RVM Rubrique "Mots sans maux" | Lien permanent | Commentaires (0)
A propos du roman "Toutes ces nuits d'absence"
interview d'Alain Bron sur
le mardi 27 mars 2018 de 8h à 9h00,
dans "la Matinale",
émission animée par Guy Capet
Bibliographie d'Alain BRON :
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Rédigé le 16/03/2018 à 11:20 dans 02. 12 Toutes ces nuits d'absence, 04. Média | Lien permanent
Rédigé le 19/03/2018 à 18:29 dans 02. 12 Toutes ces nuits d'absence, 04. Média | Lien permanent | Commentaires (0)
A propos du roman "Toutes ces nuits d'absence"
interview d'Alain Bron sur
le samedi 5 mai 2018 de 17h à 17h30
dans l'émission "Bulles et Polar"
animée par Carmen Gimeno
Bibliographie d'Alain BRON :
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Rédigé le 16/03/2018 à 11:20 dans 02. 12 Toutes ces nuits d'absence, 04. Média | Lien permanent
Rédigé le 19/03/2018 à 18:15 dans 02. 12 Toutes ces nuits d'absence, 04. Média | Lien permanent | Commentaires (0)
Alain BRON dédicace "Toutes ces nuits d'absence"
le samedi 31 mars 2018 de 15h à 18h32 rue Emile Zola10000 TROYES03 25 81 69 16
« Dans la veine du néo-polar français, mais avec la tendresse en plus : une enquête intimiste qui mêle avec verve des réflexions politiques et sociales ; se lit d'une traite ! »
"L'histoire est bien ficelée avec suffisamment de détails et de digressions pour retenir l'attention. En un mot, si j'ose : captivant ! »"J'ai beaucoup aimé le choc des générations et la complicité entre l'écrivain et sa jeune assistante au caractère bien trempé. L'enquête est bien menée et la fin inattendue comme je les aime. »« Un vrai polar avec une vraie intrigue »"En prime, une écriture fluide, des dialogues ciselés et des rebondissements inattendus. »"Une jolie écriture, quelques pointes d'humour, une énigme bien construite : Trois bonnes raisons de ne pas rater Toutes le nuits d'absence"
Bibliographie d'Alain BRON :
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Rédigé le 18/03/2018 à 14:22 dans 02. 12 Toutes ces nuits d'absence, 03. Dédicaces, salons, événements | Lien permanent | Commentaires (0)
"Toutes ces nuits d'absence" dans les médias
Internet
"Une jolie écriture, quelques pointes d'humour, une énigme bien construite : Trois bonnes raisons de ne pas rater Toutes le nuits d'absence"
https://www.blog813.com/2018/03/le-coup-de-de-michel-barouh.html
"Un vrai polar avec une vraie intrigue"
"J'ai beaucoup aimé le choc des générations et la complicité entre l'écrivain et sa jeune assistante au caractère bien trempé.
L'enquête est bien menée et la fin inattendue comme je les aime. Vous passerez un très bon moment en compagnie de ce duo."
"En prime, une écriture fluide, des dialogues ciselés et des rebondissements inattendus."
https://www.babelio.com/livres/Bron-Toutes-ces-nuits-dabsence/1029824
"L'histoire est bien ficelée avec suffisamment de détails et de digressions pour retenir l'attention. En un mot, si j'ose : captivant !"
"On sent venir un regret de l’insouciance de la jeunesse, parfois tendre et nostalgique, parfois dure et un peu amère. Oui, les trente glorieuses n’avaient pas que de bons côtés, la classe aisée vivait très bien, les autres beaucoup moins ! "
https://www.leschroniquesdegoliath.com/2018/03/toutes-ces-nuits-dabsence-par-alain-bron/
"ce roman propose des moments d’humour, parfois caustique, et enchaîne avec les scènes d’action denses, sans oublier les analyses psychologiques des personnages, des événements, des conséquences. Sans conteste, une réussite"
https://leslecturesdelonclepaul.over-blog.com/2018/04/alain-bron-toutes-ces-nuits-d-absence.html
"De simple roman policier, il nous offre un roman fort intelligent dans la forme et dans le fond, en même temps qu’il est un pur plaisir à lire. "
https://blacknovel1.wordpress.com/2018/05/20/toutes-ces-nuits-dabsence-dalain-bron/
"une jolie surprise avec ce polar atypique. J’ai apprécié l’intrigue originale, le style agréable et l’humour de l’auteur."
https://legereimaginareperegrinareblog.wordpress.com/2018/06/01/bilan-de-lecture-mai-2018/
"Le lecteur est happé, le style fluide sans fioriture, perlé d’un humour discret mais omniprésent. Quand on ouvre le livre, on ne lâche plus."
"c’est un roman que l’on lit avec plaisir : l’intrigue tient la route et l'atmosphère assez étouffante de Troyes (ses andouillettes, ses filatures, ses andouillettes...) est bien rendue. "
http://www.polarsurbains.com/2018/12/toutes-ces-nuits-d-absence-alain-bron.html
"Tout cela crée un roman attirant, sans grandes envolées, mais bien construit et écrit, pour proposer un moment de lecture fin et sensible."
"C'est avec une joli plume teintée d'humour et de nostalgie que l'auteur m'a entraîné dans son récit."
https://imagesderomans.blogspot.com/2018/12/toutes-ces-nuits-dabsence.html
"Toutes ces nuits d’absence » est un roman humble, qui ne vise pas à épater son lecteur, juste lui offrir à travers une histoire parfaitement maîtrisée, un plaisir simple, qui se diffuse au fil des pages."
"Une intrigue qui coule comme un ruisselet de montagne, nonchalante et apparemment inoffensive, mais en réalité bien plus profonde et complexe qu’il n’y paraît. "
"Le +: beaucoup d’humour allégeant quelque peu le contexte d’une époque troublée politiquement et socialement."
Presse
https://alainbron.ublog.com/alain_bron_auteur/2018/04/coup-de-coeur-est-eclair-15-avril-2018.html
"roman bien mené et bien ficelé, avec, outre les rebondissements attendus, une dimension intimiste, laquelle ne laisse pas indifférent..."
"le talent d’Alain Bron tient aussi dans son sens de l’observation, sa finesse des descriptions et son humour décalé. L’ambiance de ce roman est un bel écrin au service de l’intrigue."
Revues
https://www.thebookedition.com/fr/revue-n14-de-juin-2018-p-358730.html
"En parcourant les pages d’Alain Bron, écrivain, un vertige m’a saisie face à ces constructions romanesques aussi élaborées, au chassé-croisé invraisemblable des protagonistes, le tout me laissant dans une grande réflexion sur la condition humaine et la dissemblance sociale."
https://data.over-blog-kiwi.com/0/55/06/18/20180603/ob_bade14_ten-192-mai-2018.pdf
Paul Maugendre a lu pour vous :"Toutes ces nuits d'absence" : "Sans conteste, une réussite qui mériterait une mise en avant de la part des libraires, qui trop souvent se cantonnent dans l’exposition des ouvrages des « grandes » maisons d’édition et oublient les « petits » éditeurs qui osent"
https://criminocorpus.hypotheses.org/57534
Affichage
Vidéo/Son
Radio
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Rédigé le 16/03/2018 à 11:20 dans 02. 12 Toutes ces nuits d'absence, 04. Média | Lien permanent | Commentaires (0)
RVM émission le Bouche à oreille
Rubrique : « Mots sans maux » par Alain Bron
Sources : Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales (CNRTL) ; Dictionnaire historique de la Langue Française, pourquois.com, expressions-francaises.fr, wikipedia
Jeudi 8 mars 2018
L’émission « Le Bouche à oreille » reçoit l’Association Valois emploi de Nanteuil-le-Haudouin (Oise)
Emploi
Du verbe employer issu du latin implicare (plier dans). Emploi désigne d’abord l’usage de quelque chose, puis ce à quoi une personne est employée et au XVIIIè siècle « genre de rôle dont est chargé un acteur » (d’où l’expression « avoir le physique de l’emploi »). Au XIX et XX è siècle : ce à quoi s’applique l’activité rétribuée d’une personne
Chômage : Le terme est issu du Latin populaire « caumare » dérivé du grec ancien kauma, signifiant « se reposer pendant la chaleur ». Jusqu'au XIX è siècle, il signifie une cessation d'activité en général, pour quelque cause que ce soit
Services
Du latin servitium (« esclavage », « servitude », « captivité » ; « domesticité »; « assujettissement », « joug », « servage », « servilité ») de servus (« esclave ») et servire (« être asservi »). Le sens du mot a considérablement divergé pour avoir aujourd’hui une quinzaine de signification (travail, économie, armée, sport, religion…)
Esclave : du latin sclavus (« Slave »). Les premiers esclaves étaient des Slaves, ils ont donc laissé leur nom aux esclaves et à l’esclavage.
Travail
Sous l'Antiquité, le terme bas latin trepalium (attesté en 582) est une déformation de tripalium, un instrument formé de trois pieux, deux verticaux et un placé en transversale, auquel on attachait les animaux pour les ferrer ou les soigner, ou les esclaves pour les punir.
Apparu au xiie siècle, selon Alain Rey, le mot « travail » est un déverbal de « travailler », issu du latin populaire « tripaliare », signifiant « tourmenter, torturer avec le trepalium ». Au XII è siècle mot désigne aussi un tourment (psychologique) ou une souffrance physique (le travail d'accouchement). Au xvie siècle : Le travail signifie « Se donner de la peine pour ».
Jardinage
De Jardin, mot qui remonte probablement au gallo-romain hortus gardinus. Hortus est le nom latin du jardin, il a donné « horticole ». Gardinium est attesté au ixes en latin médiéval : « jardin entouré d'une clôture », il est issu de l'ancien francique *gart ou *gardo « clôture », cf., pour le sens, le gothique garda « clôture » ainsi que, pour la forme, l'ancien haut allemand gart, garto « jardin », allemand Garten
Chèque-service
Le mot vient de l'anglais check (« contrôle », « vérification »), lui-même issu du persan shah (« roi ») via l’ancien français eschec qui a donné échec.
L'évolution sémantique entre « roi » et « contrôle » tient au fait, dans la monarchie parlementaire anglaise, de tenir le roi « en échec », c'est-à-dire, sous contrôle. Puis on est passé de « contrôle » en général ou tous types de contrôles particuliers et de documents contrôlés (d’où le chèque bancaire, puis le chèque-service)
Ressources humaines
De l’ancien français resource, participe passé féminin substantivé de l’ancien verbe resourdre (« ressusciter, relever, remettre sur pied »).
Source : ancien participe passé féminin substantivé de sourdre (masculin : sours), issu du bas latin sursus, simplification du latin classique surrectus du participe de surgere (« surgir »).
Ménage
Le mot s’écrit mesnage jusqu’au XVIIIe siècle. Le mot est le déverbal avec suffixation en –age du verbe ancien français manoir (« demeurer », « séjourner »), dérivé du latin manere (sens identique).
Repassage
Repasser avait , jusqu’au XVè siècle le sens de « guérir » par antonymie avec « passer » (mourir). Le mot repassage (pour le linge) date de 1753 (on passe et on repasse le fer sur le linge)
Salaire
Le mot salaire vient du latin salarium, dérivé de sal, le sel. « Payement pour travail ou service rendu », il désignait initialement la ration de sel fournie aux soldats romains (salarium), puis désigna l’indemnité en argent versée pour acheter le sel et autres vivres (salarium).
Qualité
Du latin qualitas (« manière d'être », « nature (d'une chose) », « mode (des verbes) »), mot formé à partir de l'adjectif qualis (« tel », « quel », « tel quel »). Étymologiquement, la « qualité » est l'état de ce qui est « comme ça ».
Confiance
La confiance renvoie à l’idée que l’on peut se fier à quelqu’un ou à quelque chose. Dans l’étymologie latine, le verbe confier (du latin confidere : cum, « avec » et fidere « fier ») signifie qu’on remet quelque chose de précieux à quelqu’un, en se fiant à lui et en s’abandonnant ainsi à sa bienveillance et à sa bonne foi. Cette origine souligne les liens étroits qui existent entre la confiance, la foi, la fidélité, la confidence, le crédit et la croyance
Satisfaction
De satisfaire issu du latin satis (assez) et facere (faire). Au XIIè siècle, satisfaction signifiait : excuse, amende honorable, justification. Puis, en 1611, il désignait le plaisir qui résulte de l’accomplissement de ce que l’on désire, d’où : plaisir, occasion de plaisir (Mme de Sévigné). Puis en 1836, se dit de l’action pour satisfaire un besoin ou un désir (donner satisfaction)
Tarif
De l’arabe ta’rif (« notification »), via l’italien tariffa lors du commerce avec le Levant (XVIè siècle)
Bricolage
De bricole, venant de l’italien briccola (catapulte). Bricoler a d’abord signifié en 1480 « aller par-ci, par-là »; puis en 1611 « jouer en utilisant la bande (au jeu de paume, au billard) » d'où en 1616 « ricocher (en parlant d'une balle, d'une bille) », puis en 1634 « manœuvrer par des moyens détournés », puis en 1859 « exécuter de menues besognes »; enfin, en 1919 « réparer quelque chose, l'arranger ingénieusement, tant bien que mal »
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Rédigé le 05/03/2018 à 12:14 dans 08. Radio RVM Rubrique "Mots sans maux" | Lien permanent | Commentaires (0)
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