Courteline, Amour noir
Georges Courteline
avec Thomas Blanchard, Ninon Brétécher, Valérie Keruzoré et Sébastien Thiéry
décor : Laurent Peduzzi / costumes Marie Sartoux
Courteline a le génie de «dépeindre les mœurs en riant», d'épingler le ridicule et les mesquineries de personnages qui nous sont étrangement familiers. Dirigés d'une main de maître, les comédiens l'ont bien compris. La troupe de Jean-Louis Benoît rend ici un vibrant hommage à un auteur trop souvent oublié ou mal servi. Cruellement drôle. Le Figaro. Les quatre comédiens s’en donnent à cœur joie. La Croix. Dans ce Courteline-là, il y a déjà des absences, des trous à la Beckett et des délires à la Ionesco : l’absurde perce, derrière ces brèves radioscopies conjugales réalistes. Face à Feydeau et Labiche, Courteline apparaît ici le plus visionnaire, le plus moderne des trois. Télérama. Une écriture riche, percutante et joliment tournée. La Marseillaise. Les réparties fusent et le public rit. Le Parisien. Ces couples affreux, sales et méchants nous font beaucoup rire. La Provence.
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